Les beaux jours sont enfin arrivés et quoi de mieux qu’une bonne série télévisée pour se remettre d’une longue journée de labeur ? Pour ce faire, voici une sélection de sorties en vidéo pour lesquelles une séance de rattrapage s’impose en coffret DVD, Blu-ray ou 4 K. Merci qui ?

The Affair Saison 3

Une page se tourne...ou presque !

X-Files Saison 11

Un retour déjà bien compromis !

Les beaux jours sont enfin arrivés et quoi de mieux qu’une bonne série télévisée pour se remettre d’une longue journée de labeur ? Pour ce faire, voici une sélection de sorties en vidéo pour lesquelles une séance de rattrapage s’impose en coffret DVD, Blu-ray ou 4 K. Merci qui ?

Mr Robot Saison 3

Retour aux sources !

MacGyver Saison 1

Enfin un rebut qui tient le route !

Alors que les beaux jours sont enfin arrivés, quoi de mieux qu’une bonne série télévisée pour se remettre d’une longue journée de labeur ? Pour ce faire, voici une sélection de sorties en vidéo pour lesquelles une séance de rattrapage s’impose en coffret DVD ou Blu-ray. Merci qui ?

Après le succès à la fois populaire et critique d’Arrow quine se cantonne plus à sa seule existence, puisqu’elle a donné lieu en 2014 à la création d’un spin off, Flash, qui bat, lui aussi, des records d’audience. La CW, la petite chaîne américaine qui monte outre-Atlantique, ne pouvait assurément pas s’arrêter là ! Et pour cause, puisque DC’s Legends of Tomorrow, dont le casting est constitué de personnages tout juste débarqués des deux séries d’origine, connaît le même engouement et vous propose sa saison 2 !

Dans la première saison, un certain Rip Hunter (Arthur Darvill), maître du temps du 22^èmesiècle qui, après avoir assisté à un futur pour le moins funeste, décide — contre l’avis de ses pairs — de remonter le temps pour mettre fin aux agissements de Vandal Savage (Casper Crump), un tyran immortel qu’il est parvenu à vaincre avec l’aide de The A.T.O.M./Ray Palmer(Brandon Routh), Captain Cold/Leonard Snart(Wentworth Miller), Heat Wave/Mick Rory(Dominic Purcell), White Canary/Sara Lance(Caity Lotz), Firestorm/Dr Martin Stein(Victor Garber), Hawkgirl/Kendra Saunders(Ciara Renée) et Hawkman/Carter Hall(Falk Hentschel). Mais dans cette saison 2, une nouvelle menace représentée par le bien connu Damien Darhk (Neal McDonough) et son nouvel allié l’infatigable Reverse-Flash (Matt Letscher) émerge suite à la défaite de l’abominable despote et des maîtres du temps corrompus. Pendant ce temps, le Dr Nate Heywood (Nick Zano), un historien aussi atypique de charmeur, fait une découverte des plus déconcertantes : les « Légendes de Demain » sont dispersées, ici et là, à travers le temps et l’espace, alors que des anomalies temporelles font surface. Une fois encore, nos héros parviendront-ils à préserver l’Histoire ?Rien n’est désormais moins sûr !

Évoluant dans le même univers que les personnages d’Arrow et son spin-off The Flash, Legends Of Tomorrow n’égale, certes, pas ses devancières, mais peut se targuer d’avoir une mise en scène pour le moins originale. À l’orée du spectaculaire et d’un certain kitsch assumé frisant parfois la série Z, ce drame d’aventure, alliant science-fiction et action, vous fera une nouvelle fois voyager dans le temps avec des péripéties ébouriffantes si indissociables de l’univers ô combien foisonnant de DC Comics !

Distributeur : Warner Bros

Origine : USA

Date de sortie : 14 mars 2018

Créateurs & showrunners : Andrew Kreisberg, Phil Klemmer, Greg Berlanti, Marc Guggenheim

Distribution : Victor Garber, Brandon Routh, Arthur Darvill, Caity Lotz, Nick Zano, Franz Drameh, Dominic Purcell, Amy Pemberton, Maisie Richardson-Sellers, Matt Letscher…

Genre : Drame d’aventure de science-fiction et d’action

Durée : 17 épisodes de 42 minutes

Les points forts des coffrets Blu-Ray & DVD : Pas de bonus annoncé !

NCIS : Enquêtes Spéciales Saison 14

Un peu de sang neuf !

 

Après treize années assurément bien remplies, NCIS nous revient pour notre plus grand plaisir avec le coffret de la saison 14 ! En effet, au fil des ans, la série continue à répondre à l’appel du devoir et a toujours su se réinventer en faisant face à l’éviction de nombreux personnages, y compris principaux. 

Après le départ du très charismatique Anthony DiNozzo (Michael Weatherly) au terme de la saison précédente, les auteurs du show ont injecté un peu de « sang neuf » en intégrant deux nouveaux agents : Nicholas Torres (Wilmer Valderrama) et Alexandra Quinn (Jennifer Esposito). Et pour aider l’agent spécial Leroy Jethro Gibbs (Mark Harmon) et son équipe à combattre le crime, l’officier du MI6 Clayton Reeves (Duane Henry) rejoint également l’équipe de la Naval Criminal Investigative Service en tant que spécialiste des affaires à répercussions internationales. Une fois encore le NCIS va devoir unir ses efforts et nombreuses autres compétences pour lutter contre les terroristes, assassins, cybermenaces et autres milices antigouvernementales. Sans compter que les scénaristes prennent un malin plaisir à entretenir en filigrane un cocktail intelligemment maîtrisé de romance, révélations croustillantes et autre suspense exaltant. 

Entre nouveaux chassés-croisés amoureux et investigations compliquées, la quatorzième saison de NCIS se renouvelle une fois de plus avec de nouvelles crises affectant pour la énième fois le personnel de l’armée américaine et la sécurité nationale. 

---

Depuis qu’il a découvert qu’il était l’un des dignes et derniers héritiers des Grimm, une lignée de chasseurs redoutés dont les exploits ne sont pas uniquement des contes, l’inspecteur Nick Burckhardt (David Giuntoli) n’a pas chômé et compte désormais un bon nombre de créatures maléfiques à son tableau de chasse. 

Après quatre saisons aussi riches que variées, notre intrépide héros est de retour, mais désormais privé de sa mère Kelly (Mary Elizabeth Mastrantonio) et de sa bien-aimée Juliette (Bitsie Tulloch), toutes deux sauvagement assassinées. Et alors qu’il essaie tant bien que mal de panser ses plaies, une guerre se prépare entre les Grimm et les Wesen. En effet, ces derniers ont décidé de ne plus se cacher et de prendre le contrôle de la Terre pour mieux asservir la race humaine. Pour ce faire, un groupuscule nommé la « Griffe Noire » multiplie les attentats et autres obscurs rituels, ici et là, sur la surface de la planète. Tandis que Trubel (Jacqueline Toboni) s’enrôle dans une autre sombre organisation plus connue sous le nom de « Mur d’Hadrien », Nick va devoir puiser dans ses ressources pour mieux lutter contre ce soulèvement et embrasser sa destinée d’élu…

Après quatre saisons pleines de promesses, les auteurs se devaient de passer à la vitesse supérieure pour ne pas décevoir les fans de la première heure. Pour beaucoup d’aficionados, cette saison 5 de Grimm est considérée comme l’une des plus surprenantes. La raison en est toute simple : finie l’insouciance des premiers temps, place aux désillusions et au dur poids des responsabilités ! Par conséquent, Nick va devoir affronter, cette année encore, la dure réalité de son héritage familial ancestral qui va progressivement prendre le pas sur son présent…

Un quart de siècle après avoir bouleversé les codes de la télévision, la série culte Twin Peaks nous revient pour une saison 3 particulièrement attendue au tournant par les fans de la première heure ! Alors revival réussi ou simple phénomène de mode télévisuel ? Pour le savoir, il ne vous reste plus qu’à lire ce qui suit…

Rappelez-vous : il y a de cela plus de 26 ans, le corps sans vie d’une jeune femme est retrouvé, enveloppé dans une bâche en plastique, sur une berge située à Twin Peaks, petite ville forestière « sans histoire » du nord-est des États-Unis. Le nom de la victime, une certaine Laura Palmer (Sheryl Lee), adolescente connue et appréciée de tous. Dépêché sur place, l’agent du FBI,Dale Cooper (Kyle MacLachlan) se livrait ainsi à ses premières investigations et ne tarda pas à découvrir que non seulement la disparue était loin d’être blanche comme neige comme tout le monde se plaisait à le croire, mais aussi que les habitants de Twin Peaks collectionnaient les bizarreries et autres secrets inavouables. Et tout laisse à penser que plus d’un quart de siècle plus tard, rien n’a changé… si ce n’est que la mystérieuse bourgade est désormais connectée au reste du monde !

Créé par David Lynch en personne (eh oui, rien que ça !), lequel réalise également certains des épisodes, Twin Peaks : The Return Saison 3 demeure toujours un objet télévisuel hybride inclassable. Mêlant le soap opera, le fantastique, l’humour cinglant et le drame criminel, ce revival, inespéré pour les aficionados qui n’en pouvaient plus d’attendre, prolonge la réputation de série culte de l’œuvre. Véritable gageure télévisuelle truffée de symboles et autres allusions cinématographiques ou télévisuelles, cette saison 3 continue de proposer une cinématographie perturbante, voire onirique, ici et là, une interprétation irréprochable, des mélodies obsédantes, ainsi que des intrigues haletantes. De Las Vegas à Paris, en passant par New York ou encore Buenos Aires, sa construction narrative s’avère toujours nébuleuse et se situe, en quelque sorte, hors du temps et plus particulièrement, hors de la perception habituelle du simple téléspectateur. Qu’on se le dise : le mystère s’épaissit pour notre plus grand plaisir !

Distributeur : Paramount

Origine : USA

Date de sortie : 27 mars 2018

Créateurs & showrunners : Mark Frost & David Lynch.

Distribution : Kyle MacLachlan, Shreyl Lee, Michael Horse, Miguel Ferrer, David Lynch, Robert Forster, Kimmy Robertson, Naomi Watts…

Genre : drame policier fantastique

Durée : 18 épisodes de 47 minutes.

Les points forts des coffrets Blu-ray & DVD :

– Les 4 premiers épisodes à visionner séparément ou couplés, comme lors de la diffusion originale.

– 7 extraits promotionnels produits par David Lynch.

– Un documentaire sur le phénomène Twin Peaks.

– Twin Peaks au Comic-Con 2017.

– Bonus exclusifs Blu-ray :

– le making-of des débuts du tournage — un rêve très agréable : une semaine à Twin Peaks.

– 2 films tournés par Richard Beymer sur le plateau de tournage

Once upon A Time Saison 6 

Once upon the beginning of the end...

 

 

Diffusée depuis octobre 2011 sur le petit écran américain, Once Upon a Time a tout de suite dépassé les espoirs que ses créateurs avaient placés en elle et a permis à la ABC de progresser dans les audimats, et ce, avant de connaître une érosion inexorable. C’est donc tout naturellement que vous pouvez retrouver le coffret de la sixième saison chez votre revendeur préféré afin de vous repasser en boucle vos épisodes préférés. À l’instar des précédentes saisons, cette dernière s’inscrit dans cette fameuse continuité scénaristique qui veut que lorsque nos héros mettent fin à une malédiction, une nouvelle encore plus pernicieuse prenne le relais. 

En effet, alors que Régina Mills/la Méchante Sorcière (Lana Parrilla) vient tout juste de se débarrasser de son côté obscur, la quiétude envahit de nouveau Storybrook. Mais l’accalmie ne sera que de courte durée puisque l’Evil Queen refera surface pour semer la zizanie. Pour s’en débarrasser définitivement, Régina devra livrer son ultime bataille, mais l’une peut-elle subsister sans l’autre ? Pendant ce temps, M. Gold/Rumplestilskin (Robert Carlyle) vole une nouvelle fois à la rescousse de sa Belle (Emilie de Ravin) sans se douter qu’il allait engendrer une malédiction entre Mary Margaret Blanchard/Blanche-Neige (Ginnifer Goodwin) et son Prince Charmant David Nolan(Josh Dallas). Quant à Emma Swan (Jennifer Morrison), elle se remet à rêver à un happy-end aux côtés de son bien-aimé, alias Killian Jones/Capitaine Crochet (Colin O’Donoghue), avant de découvrir qu’elle est destinée à mourir pour sauver les siens…

Ce sixième volet des aventures passionnantes des personnages préférés des contes de notre enfance marque non seulement une certaine lassitude dans l’écriture, mais aussi la fin d’une époque dans l’évolution mythologique de la série. En effet, il s’agit là des dernières aventures de nos héros préférés avant un saut dans le temps, lequel donnera lieu à un reboot créatif. Qu’on se le dise, il s’agit bien du début de la fin !

---

Distributeur : ABC Studios

Origine : USA

Date de sortie : 21 mars 2018

Créateurs : Adam Horowitz et Edward Kitsis

Distribution : Jennifer Morrison, Ginnifer Goodwin, Lana Parrilla, Robert Carlyle, Josh Dallas, Emilie de Ravin, Jared Gilmore, Colin O’Donoghue, Rebecca Mader, Karen David, Giles Matthey, Deniz Akdeniz…

Genre : Drame fantastique

Durée : 22 épisodes de 42 minutes

Les points forts du coffret DVD : commentaires audio, bêtisier et autres scènes coupées.

Hawaii 5-0 Saison 7

L'île de nouveau en ébullition !

 

Depuis son lancement en 2010, Hawaii 5.0, le remake ultra modernisé de l’une des plus iconiques séries des années 70, a indubitablement conquis les amateurs d’enquêtes policières musclées, sexy et rythmées. Dans cette saison 7, l’escouade contre le crime la plus redoutée de l’île doit résoudre des dossiers ô combien épineux !

Alors queSteve McGarrett (Alex O’Loughlin) doit faire équipe avec un profiler du FBI pour débusquer un tueur particulièrement maniaque, Danny « Danno »Williams (Scott Caan) protège un témoin plongé dans le coma pour éviter que des âmes malveillantes ne lui fassent mordre la poussière. Quant à Chin Ho Kelly (Daniel Dae Kim), il se rendra au sud de la frontière pour tirer sa nièce des filets tendus par un violent cartel. Pendant ce temps, Kono Kalakaua (Grace Park) démantèlera un réseau proxénète sévissant sur l’archipel et le Dr Max Bergman (Masi Oka) fera ses adieux à sa famille de Hawaii 5-O…

Comme vous l’aurez compris, entre crimes abjects, pègre, investigations éreintantes et autre départ larmoyant, les 25 épisodes haletants de cette septième saison particulièrement passionnante vous prouveront une fois de plus que le crime ne paie pas ! Entre panoramas paradisiaques, bande-son endiablée, personnages charismatiques et missions palpitantes, l’indomptable Steve et ses fidèles acolytes tenteront, à leur manière, de résoudre les nouvelles missions qui leur ont été dévolues. Certes, les épisodes ne se valent pas tous, mais, globalement, la série continue de se distinguer par sa qualité.Un chapitre à ne pas manquer pour les fans de la première heure ! 

---

Distributeur : CBS & Paramount

Origine : USA

Date de sortie : 17 avril 2018

Créateurs : Leonard Freeman & Peter M. Lenko

Distribution : Alex O’Loughlin, Scott Caan, Daniel Dae Kim, Grace Park, Masi Oka, Chi McBride, Jorge Garcia, Taylor Wily…

Genre : Policier

Durée : 25 épisodes de 42 minutes

Les points forts du coffret DVD :

– À voir ! Alex O’Loughlin en séance photo pour un magazine.

– Le littoral : saison 7.

– L’héritage de la famille Chun.

– Journal vidéo.

– Bêtisier.

NCIS Los Angeles Saison 8

Le ver serait-il déjà dans la pomme ?

 

Après sept saisons bien remplies, NCIS : Los Angeles n’est définitivement plus la simple série dérivée de NCIS première du nom, et n’intéressant guère qu’une poignée d’irréductibles et autres aficionados de sa grande sœur télévisuelle NCIS ! Depuis sa première diffusion en septembre 2003 sur le petit écran américain (mars 2004 pour la France), on peut même parler d’un véritable phénomène télévisuel dans la mesure où ses audiences continuent à afficher des chiffres qui donnent le tournis, même si celles-ci connaissent une érosion notable depuis trois ans.

Dans cette huitième saison saturée en adrénaline, les scénaristes passent à la vitesse supérieure et vont bouleverser la donne avec des arrestations contrariées, une taupe infiltrée au sein du département et une mission secrète très largement compromise en Syrie. Que de rebondissements et autres déconvenues en perspective qui vont faire grincer quelques dents ! 

Grand jeu sur les codes qu’elle recycle et hommages en forme de clins d’œil à certains des plus grands chefs-d’œuvre cinématographiques de registres différents qu’elle multiplie, NCIS : Los Angeles continue indubitablement de surprendre. En sautant avec virtuosité d’un genre à l’autre, de l’humour à l’action pure et dure, la série se distingue toujours autant avec des caractéristiques très affirmées et un casting de choc (LL Cool J, Chris O’Donnell, Daniela Ruah, Eric Christian Olsen, Linda Hunt, Barrett Foa, Renee Felice Smith, etc.) qui servent assurément les propos de l’une des séries télévisées les plus regardées au monde !

---

Distributeur : CBS/Paramount

Origine : Américaine

Date de sortie : 17 avril 2018

Créateurs & showrunners : Shane Brennan & R. Scott Gemmill

Distribution :Chris O’Donnell, LL Cool J, Daniela Ruah, Linda Hunt, Barrett Foa, Eric Christian Olsen, Renee Felice Smith, Miguel Ferrer, Bar Paly…

Genre :Drame policier

Durée : 24 épisodes de 42 minutes

Les points forts du coffret DVD :

– Une salsa pimentée.

– Un profond impact : NCIS : Los Angeles Saison 8.

– Souvenirs de Miguel.

– Scènes coupées.

The Magicians Saison 2

Un monde encore plus hostile !

 

Depuis sa plus tendre enfance, Quentin Coldwater (Jason Ralph) est passionné par le monde de la magie. À force de travail et de ténacité, il parvient à intégrer l’université de Brakebills, un établissement prestigieux où est formée l’élite des futurs magiciens. En compagnie d’autres sorciers en herbe, il va lentement, mais sûrement, prendre conscience que le monde magique dans lequel il adorait s’immerger dans les contes de son enfance est aux antipodes de la réalité. En effet, alors qu’il fait ses premières armes en tant qu’apprenti magicien en concoctant ses premières potions et psalmodiant ses premières incantations, il fait entrer involontaire dans sa vie des forces maléfiques venues de l’au-delà qui ne vont pas tarder à menacer l’humanité tout entière. 

Et dans cette saison 2, nos apprentis sorciers vont se retrouver dans un univers encore plus hostile où leurs montées en compétences vont leur être d’un sérieux secours face à une menace grandissante qui pourrait bien réduite à néant la magie tout entière. Galvanisés par leur pouvoir, leur soif de vengeance ainsi que leur instinct de survie, ils sont toutefois loin de se douter qu’on ne sort jamais indemne du monde envoûtant de Fillory…

Adaptée du best-seller éponyme de Lev Grossman, The Magicians est une série atypique qui n’évite pas pour autant les comparaisons avec le cultissime Harry Potter dont l’auteur a avoué s’être quelque peu inspiré ! Pour autant, même si bon nombre de cinéphiles ont grandi au rythme des tomes et autres adaptations cinématographiques de JK Rowling, The Magicians nous propose un univers toujours plus noir. Dans cette variante télévisuelle, la magie est assurément plus enivrante et son usage beaucoup plus addictif voire pernicieux. Alors gare à l’accoutumance !

---

Distributeur : Universal

Origine : USA

Date de sortie : 3 avril 2018

Créateurs & showrunners : John McNamara & Sera Gamble

Distribution : Jason Ralph, Stella Maeve, Olivia Taylor Dudley, Hale Appleman, Arjun Gupta, Summer Bishil, Jade Tailor…

Genre :Drame fantastique

Durée : 13 épisodes de 45 minutes

Les points forts des coffrets Blu-ray & DVD :

– Derrière la magie.

– Bêtisier. 

En cette période de grand froid, rien de tel qu’une bonne série télévisée à (re) découvrir confortablement assis dans notre canapé ! Coup de projecteurs sur les meilleures sorties du mois… merci qui ?

Surfant sur la vague des nouvelles adaptations modernisées de contes classiques, Beauty & The Beast développe à la fois des personnages complexes et des enjeux mystérieux, tout en y ajoutant de nouvelles données, comme la découverte d’une organisation secrète qui pourrait bien être la réponse aux nombreuses questions soulevées par le show. Le célèbre conte est ici transposé dans le New York contemporain. Catherine Chandler (Kristin Kreuk) — la Belle — agressée alors qu’elle tentait de porter secours à sa défunte mère, ne doit la vie qu’à l’intervention de Vincent Keller (Jay Ryan III) — un ancien soldat d’élite transformé en Bête suite à une expérience scientifique militaire. Et depuis, un amour impossible est né et s’est développé entre Catherine et Vincent.

Mais dans cette 4^ème et ultime saison, l’histoire d’amour entre la détective au passé nébuleux et le médecin dissimulant un secret mortel va connaître son dénouement et pas des moindres ! En effet, après avoir enchaîné les drames pendant quatre saisons aussi riches que variées, Cat et Vince vont-ils avoir le « happy ending » qu’ils méritent ? À vous de le découvrir en vous procurant le coffret des 13 derniers épisodes de Beauty & The Beast !

Quelque part au croisement de la trop éphémère Dark Angel, qui a propulsé Jessica Alba au rang de star internationale au début du siècle, et de l’inoubliable La Belle et la Bête déjà transposée sur le petit écran par Ron Koslow en 1987, avec Ron Perlman et Linda Hamilton, Beauty & The Beast peut se targuer d’avoir donné un sacré coup de lifting au célèbre conte de notre enfance en tant qu’adaptation télévisuelle résolument plus sombre et moderne. Le soin tout particulier apporté non seulement aux portraits des personnages principaux, mais aussi secondaires, fait de cette œuvre une production à part. Par son originalité, ses qualités scénaristiques et son histoire d’amour à l’eau de rose, la série a trouvé la place qu’elle mérite au panthéon de la télévision… 

Depuis quelques années, les séries policières pullulent sur petit écran. En tête de liste, nous noterons New York Unité Spéciale, dont la NBC vient tout juste de commander une 18^e saison outre-Atlantique. Une série parmi tant d’autres ? Pas vraiment : celle-ci reprend, certes, une grande partie du cahier des charges des productions du même genre, mais parvient allègrement à imposer son style. Diffusée depuis la rentrée 1999, elle a tout de suite dépassé les espoirs que son créateur Dick Wolf avait placés en elle. Mettant des personnages au service des scénarios tout en refusant l’aseptisation, elle ne se gêne aucunement pour revisiter le genre en tapant dans le vivier des faits divers les plus ignominieux. Et la barrière est parfois très mince entre la réalité et la fiction, ce qui n’est pas pour nous déplaire, loin s’en faut !

Pour ce qui est de la dix-huitième saison, elle est toujours portée par l’indéboulonnable Mariska Hargitay, récompensée aux Emmy Awards, qui excelle au sein d’un casting de rêve composé d’Ice T, Kelli Giddish, Raul Esparza et Peter Scanavino. Entre un épisode marqué par l’apparition exceptionnelle de l’ancien vice-président américain, Joe Biden dans son propre rôle et un autre épisode directement inspiré de l’indécrottable Donald Trump, l’œuvre de portée universelle — dérivée de New York Police Judiciaire et l’une des plus anciennes séries américaines (hors soap operas) encore à l’antenne — vous offrira 21 épisodes palpitants !

Dans le système télévisuel, la série policière est considérée comme une valeur sûre. À New York Unité Spéciale, les inspecteurs qui enquêtent sur les crimes s’interrogent sur le monde qui les entoure et tentent, avec humanité et opiniâtreté, mais sans mansuétude, de donner du sens à une violence humaine qui n’en a souvent pas… 

Pendant longtemps, l’ancien agent du gouvernement Raymond « Red » Reddington (James Spader) a été l’ennemi public numéro 1. Parvenant non sans mal à transiger avec le camp adverse, il était devenu l’un des fugitifs les plus recherchés sur le sol américain. Mais, depuis plus de quatre ans, celui qu’on prenait un malin plaisir à surnommer « le concierge du crime » semble avoir rangé ses armes aux vestiaires depuis qu’il s’est rendu au FBI avec la ferme intention d’arrêter les plus grands criminels du monde entier. Pour mener à bien cette mission ô combien périlleuse, il n’a eu qu’une seule exigence : traiter avec Elizabeth « Liz » Keen (Megan Boone) une apprentie profileuse fraîchement débarquée de l’académie !

Et après plusieurs saisons en épisode « stand-alone » et une ellipse scénaristique en filigrane, les auteurs Blacklist décident se limiter la casse (face à une érosion plus que significative de l’audimat de la série) et passent, ainsi, à la vitesse supérieure, et ce, sans nul doute pour arrêter l’hémorragie. Avec son lot de révélations explosives, la saison 3 se terminait sur un retour plus ou moins inattendu et un cliffhanger choc. Red parviendra-t-il à secourir une nouvelle fois Liz ? Sans compter que le final de la saison 4 répondra enfin à la grande question qui taraude les fans de la première heure : Red est-il le père de Liz ? Réponse…

Quelque part au croisement d’Alias et du thriller Taking Lives, Destin Violés avec Angelina Jolie et Ethan Hawk, Blacklist gagne non seulement en profondeur, mais aussi en dynamisme avec cette saison 4 assurément plus sérialisée et marquée par une psychologie des personnages nettement plus sondée ! Après quatre chapitres bien remplis, elle n’est définitivement plus une simple série policière n’intéressant guère qu’une poignée d’irréductibles particulièrement nostalgique d’un temps où la sculpturale Sydney Bristow (alias Jennifer Garner) battait des records d’audience sur la ABC avant de contaminer le monde entier. Et pour preuve, Blacklist aura son spin off  en parallèle de cette saison : baptisé The Blacklist : Redemption et centrée sur Tom Keen (Ryan Eggold), la série dérivée ne survivra malheureusement pas à sa première saison…

Après avoir été longtemps considérées comme un sous-genre, parce que populaires, les séries ont depuis près de deux décennies le vent en poupe et, désormais, le droit de cité. C’est pourquoi les adaptations de films cultes en séries télévisées sont aujourd’hui particulièrement prisées. Mais si certaines ont été de franches réussites et que d’autres se sont vautrées dans le ridicule, l’ère du recyclage ne s’arrête pas là puisque c’est désormais au tour de la trilogie cinématographique Taken de passer du grand au petit écran.

Mais dans cette adaptation préquelle, exit Liam Neeson et place à Clive Standen qui incarne le jeune Bryan Mills. Cet ancien militaire voit son quotidien bouleversé lorsqu’il assiste impuissant à la mort de sa petite sœur, assassinée dans un train par des terroristes. Rongé par sa culpabilité, il va alors s’enrôler dans les Services de Renseignements, recruté par la directrice adjointe spéciale Christina Hart (Jennifer Beals) en personne, laquelle va le prendre sous son aile. À ses côtés, la jeune recrue va rejoindre une équipe d’agents d’élite destinée à gérer les urgences de la sécurité nationale américaine.

Preuve de plus que le petit écran aime l’univers cinématographique de Luc Besson, certaines mauvaises langues craignaient le pire de ce prequel télévisuel, mais force est de reconnaître que ses showrunners Alexander Cary & Greg Plageman respectent scrupuleusement les codes établis dans la saga cinématographique, et ce, pour mieux passer à la vitesse supérieure. Dans cette adaptation télévisuelle réussie, ses créateurs repoussent une nouvelle fois les limites de Taken en apportant leur pierre à l’édifice de la franchise ô combien lucrative ! Une première saison en DVD (ou Blu-ray) à ne surtout pas manquer pour tous les amateurs de sensations fortes, de traque infernale, explosive et musclée.

Distributeur : Europacorp
Origine : USA
Date de sortie : 14 février 2018
Créateurs & showrunners : Alexander Cary & Greg Plageman.
Distribution : Clive Standen, Gaius Charles, Brooklyn Sudano, Monique Gabriela Curnen, Michael Irby, Jose Pablo Cantillo, James Landry Hébert, Jennifer Beals, Jessica Camacho...
Genre : Thriller dramatique et d’action
Durée : 10 épisodes de 42 minutes.
Les points forts des coffrets DVD : Pas de bonus annoncé !

This Is Us Saison 1 

 

La vie à cinq !

 

Chronique d’une famille américaine blanche et de leur fils adoptif noir, vivant entre New York et Los Angeles, entre la fin des années 1970 et nos jours, This Is Us est une œuvre unique, sensible et intelligente, retraçant, par le biais de la fiction, les joies et les malheurs qu’une famille peut expérimenter.

Dans la famille Pearson, nous avons la fille Kate (Chrissy Metz), une jeune femme en surpoids déterminée à mincir et à reprendre sa vie en main. Kevin (Justin Harley), son frère jumeau, est quant à lui un acteur de sitcom expérimentant les affres de la crise existentielle. De son côté, Randall (Sterling K. Brown), leur frère adoptif noir, est sur le point de faire la connaissance de son père biologique. Enfin, le père Jack (Milo Ventimiglia) s’apprête à assister à l’accouchement de sa femme Rebecca (Mandy Moore), enceinte de triplés. Ces quatre âmes unies par les liens du sang et du cœur mènent des existences toutes aussi différentes les unes que les autres, mais partagent beaucoup de points communs, à commencer par leur date d’anniversaire…

Couronnée par la critique et les téléspectateurs du monde entier, tant pour les qualités narratives des scénarios que pour l’interprétation irréprochable de son casting, This Is Us peut se targuer d’être une série unique, comme il en existe trop rarement. Impossible d’imaginer, avant de l’avoir vue, qu’une série aussi classique sur le papier puisse être une grande œuvre. C’est pourtant le cas, et la saison 1 en est une expérience lumineuse, aussi dramatique soit-elle ! Car, il faut bien l’avouer, This Is Us est une série hors du commun : par sa trame narrative originale défiant les lois du temps et les évolutions inattendues que lui fait subir son créateur Dan Fogelman, par sa réalisation réfléchie, son interprétation exceptionnelle, et par l’équilibre entre malheur et bonheur, This Is Us se présente avant tout comme une tragédie moderne, un chef-d’œuvre télévisuel d’une portée universelle tant elle trouvera écho en chacun de vous…

 

Distributeur : Fox
Origine : USA
Date de sortie : 31 janvier 2018
Créateur & showrunner : Dan Fogelman.
Distribution : Milo Ventimiglia, Mandy Moore, Sterling K. Brown, Chrissy Metz, Justin Harley, Susan Kelechi Watson, Chris Sullivan, Ron Cephas Jones...
Genre : drame
Durée : 18 épisodes de 42 minutes.
Les points forts du coffret DVD : Pas de bonus annoncé !

Depuis quelques années déjà, le petit écran américain traverse ce que la presse mondiale a baptisé son « nouvel âge d’or » de la télévision. Un état de fait qui n’a pas échappé aux journalistes du monde entier ! J’en veux pour preuve nos magazines préférés, nos quotidiens nationaux et régionaux, nos magazines féminins et autres qui s’accordent tous pour réserver une place de choix à ce genre télévisuel, naguère si décrié et aujourd’hui si encensé, pour mieux publier des articles dithyrambiques sur les meilleures productions télévisuelles du moment. Coup de projecteurs sur les meilleures sorties du mois qui pourraient bien venir garnir le pied de votre sapin de Noël…

Madison Clark (Kim Dickens), une conseillère d’orientation, jeune veuve et mère de famille, élève ses deux enfants à Los Angeles. Ces deux derniers, Alicia (Alycia Debnam-Carey) et Nick (Frank Dillane), n’acceptent pas vraiment qu’elle ait refait sa vie avec son nouveau compagnon, Travis Manawa (Cliff Curtis), professeur dans le même lycée et également père divorcé. Alors que chacun essaie tant bien que mal de réapprendre à vivre en acceptant l’autre, une bien étrange pandémie va venir obscurcir leur quotidien. C’est autour de cette famille recomposée, qui a bien du mal à recoller les morceaux, que des intrigues vont se tisser dans la première saison pour mieux nous dévoiler les origines d’un mal encore peu connu qui va lentement, mais sûrement, bouleverser l’équilibre du monde.

Après avoir assisté impuissants à la destruction de Los Angeles, Madison, Travis, Daniel Salazar (Rubén Blades) et ce qui leur reste de familles embarquent à bord du yacht « Abigail ». Sans être pleinement conscients de l’ampleur de l’apocalypse, ils voguent vers de nouveaux horizons avec l’espoir de trouver une terre plus hospitalière et, surtout, épargnée par l’épidémie. Alors que l’opération militaire Cobalt atteint son apogée repoussant les infectés vers la mer, nos héros vont devoir se rendre à l’évidence : les eaux ne sont pas nécessairement plus sûres que la terre ferme. Et pour vérifier cela, nos héros vont devoir passer de nouveaux tests à la lisière de la frontière mexicaine. Abolie depuis le début l’Apocalypse, ils vont tenter tant bien que mal d’y reconstruire une nouvelle société tout en maintenant l’équilibre précaire de leur famille respective. Alors que Madison s’est réconciliée avec Travis et qu’Alicia est hantée par le meurtre d’Andres (Raul Casso), Nick, lui, assiste à l’enlèvement de sa bien-aimée Luciana (Danay Garcia)…

Dire que le petit écran américain connaît actuellement un nouvel âge d’or devient saison après saison un doux euphémisme. Une preuve de plus de l’effervescence de la créativité à la télévision américaine, la saison 3 de Fear The Walking Dead passe assurément à la vitesse supérieure. À l’instar de The Walking Dead dont elle est dérivée, le spin-off nous contamine à nouveau, nous tenant en haleine du début à la fin, frisant parfois l’overdose d’adrénaline. En balayant les censures et autres préjugés figurant en tête des dix commandements de la bible télévisuelle, cette chronique télévisuelle s’avère assurément beaucoup plus mordante qu’elle ne le laissait paraître de prime abord ! Réalisation soignée, surprenante parfois avec flash-back, hallucinations et autres effets sonores flippants, tout y est juste, jamais vulgaire, avec une intensité rare pour une série télévisée. Mais si le pire ennemi de l’homme n’était pas l’homme finalement…

Série dérivée de Breaking Bad qui a obtenu le succès populaire et critique que tout le monde connaît, Better Call Saul n’est assurément plus un simple spin-off. Dépassant largement les espoirs que ses créateurs Vince Gilligan & Peter Gould avaient placés en elle, la série a indubitablement conquis le cœur des fans de la première heure. Ceux-là mêmes qui ont eu du mal à faire leurs adieux à l’infatigable Walter White, magistralement incarné par Bryan Cranston et qui repose désormais en paix (du moins pour le moment) au panthéon de la télévision.

Durant la première saison, les auteurs nous présentent l’indécrottable Saul Goodman (Bob Odenkirk) six ans avant de croiser le destin de son trafiquant de méthamphétamines préféré. Également connu sous le nom de Jimmy McGill, l’avocat véreux rencontre de plus en plus de difficultés à joindre les deux bouts en fin de mois, tant et si bien qu’il finit par passer de l’autre côté de la barre. Se livrant à de multiples petites escroqueries de plus en plus risquées, l’avocat sans le sou va définitivement basculer du côté obscur dans la saison 2, et ce, pour mieux faire exploser son tiroir-caisse ! Puis, dans celle qui suit, Jimmy va lentement, mais sûrement, s’effacer pour céder sa place à Saul, son alter ego assurément plus maléfique. Malgré tout, Jimmy se rattachera à une âme qui lui fera de plus en plus défaut, surtout face à de pauvres dames âgées…

Couronnée par la critique et les associations de « sériesmaniacs », tant pour la qualité narrative des scénarii que pour ses personnages subversifs et de l’interprétation, Better Call Saul continue de surprendre, et ce, même si cette saison 3 souffre de quelques lenteurs. Grand jeu sur les stéréotypes qu’elle « karcherise », la série continue de sauter avec virtuosité d’un genre à l’autre, de l’humour noir au drame, mais les caractéristiques très affirmées des principaux protagonistes en assurent la bonne cohérence.

Diffusée pour la première fois le 21 septembre 2015 sur NBC outre-Atlantique, Blindspot a tout de suite conquis le cœur des « sériesmaniacs », faisant de l’œuvre télévisuelle l’une des plus grandes réussites de la saison 2015/2016 !

Ce thriller d’action portée par Jaimie Alexander (alias Sif dans Thor et Marvel : Les Agents du S.H.I.E.L.D ou encore l’inoubliable Jessi X dans Kyle XY disparue bien trop tôt du tube cathodique) parvient à tirer aisément son épingle du jeu dans un genre jugé pourtant ultra concurrentiel. Quelque part au croisement de John Doe et d’Alias, son intrigue est centrée sur une jeune femme amnésique rebaptisée Jane Do et retrouvée nue comme un ver au beau milieu de Times Square, à New York. En outre, son corps est recouvert de tatouages énigmatiques dont elle va devoir élucider les nombreux mystères pour mieux reconstituer le puzzle de son passé. Épaulée par l’agent du FBI Kurt Weller campé par Sullivan Stapleton (tout juste sorti de la très musclée Strike Back qui a fait récemment ses adieux sur Cinemax US après cinq années de bons et loyaux services à la section 20 du MI-6) et dont elle porte le nom sur son dos. Dans la saison 1, nos héros s’acharnent à déchiffrer les nombreuses énigmes dispersées un peu partout sur son corps afin de révéler au grand jour une conspiration de grande envergure. Et pour cause, la saison 2 nous révèlera que Jane n’est pas celle qu’elle croyait être ! Pire encore, son sombre passé au sein de l’organisation groupusculaire du nom d’Orion refera surface pour venir tout bouleverser…

La distribution de Blindspot a sans nul doute contribué au succès critique et populaire de la série ! Les deux héros incarnés par deux valeurs montantes à Hollywood forment un couple charismatique et dynamique sur le petit écran, et la performance de Jaimie Alexander, l’interprète de la nouvelle recrue du FBI amnésique, est stupéfiante. Véritable série phare de cette fin de décennie télévisuelle, Blindspot révolutionne un genre quelque peu éculé, mais qui trouve, ici, un second souffle de modernité…

Dès les premières minutes de la saison 7, les auteurs de Game Of Thrones nous replongent au cœur de cette bataille intestine et sans foi ni loi que se livrent les nombreux protagonistes à travers Westeros et Essos, et ce, pour mieux s’emparer du Trône de Fer tant convoité. En outre, les survivants des deux régions respectives vont devoir se rapprocher pour mieux avancer vers leurs destins qui pourraient bien être funestes depuis qu’une force obscure a détruit l’équilibre des saisons. Certains personnages vont sceller de nouvelles alliances afin d’accroître leur chance de réussite et, surtout, de survie, et de nouveaux protagonistes vont faire une entrée magistrale sur l’échiquier, et ce, pour mieux en bouleverser l’équilibre. Alors que ce dernier s’avère de plus en plus précaire entre l’Est et l’Ouest, au Nord comme au Sud, des forces sinistres et surnaturelles se pressent aux portes du Royaume des Sept Couronnes avec la ferme intention d’en découdre avec chacun d’entre eux ! Pendant que la confrérie de la Garde de Nuit essaie tant bien que mal de protéger le Royaume de toute entité originaire d’au-delà du Mur protecteur, et qu’elle voit ses ressources s’étioler, de nouveaux complots et autres rivalités rejaillissent…

Basée sur la saga littéraire de G.R.R. Martin, Game Of Thrones s’est imposée rapidement comme un mastodonte du petit écran, pulvérisant des records d’audience à chaque diffusion. Après avoir été élue la série la plus populaire de l’histoire de la chaîne câblée américaine HBO, Game of Thrones étend chaque année davantage son hégémonie au niveau de l’échiquier télévisuel mondial. Avec une palanquée de prix prestigieux raflés à ce jour et autres nombreuses nominations, la série assoit définitivement son statut de phénomène mondial, talonnée de très près par une certaine The Walking Dead. Laquelle pourrait bien la détrônée !

Contrairement à la pensée commune, regarder une série n’est pas du tout un acte passif et Game of Thrones en est la preuve irréfutable ! J’en veux pour preuve cette saison 7 certes plus courte que les précédentes, mais toujours aussi complexe et captivante ! Alors que la fin de Game of Thrones se rapproche lentement, mais sûrement, la pression monte indubitablement d’un cran pour le plus grand plaisir des fans de la première heure qui n’en pouvaient plus d’attendre !

Distributeur : HBO
Origine : USA
Date de sortie : 11 décembre 2017
Créateurs & showrunners : D.B. Weiss et David Benioff.
Distribution : Peter Dinklage, Emilia Clarke, Kit Harington, Lena Headey, Nikolaj Coster-Waldau, Sophie Turner, Maisie Williams, John Bradley (II), Kristofer Hivju, Gwendoline Christie, Jerome Flynn, Iain Glen, Liam Cunningham, Carice Van Houten, Alfie Allen, Aidan Gillen, Conleth Hill, Nathalie Emmanuel, Indira Varma, Isaac Hempstead-Wright, Joe Dempsie, Rory McCann...
Genre : Drame fantastique
Durée : 7 épisodes de 52 minutes
Les points forts des coffrets Blu-Ray & DVD :
- « Conquête & Rébellion : l’histoire des Sept Couronnes » : 7 nouvelles scènes animées qui racontent l’histoire et les antécédents des lieux et intrigues remarquables de la saison 7 incluant Fossedragon, Hautjardin, les Prophéties du Monde Connu, Les pluies de Castamere... racontées par des membres du casting (Nikolaj Coster-Waldau, Aidan Gillen, Iain Glen, etc - 43').
– « De l’imagination à la réalité : les coulisses du département artistique » : bonus en 2 parties détaillant le travail remarquable de la directrice de la scénographie Deborah Riley et de son équipe, ainsi que le processus de création des nouveaux décors de cette saison, dont Peyredragon, Castral Roc, Hautjardin, Fossedragon, et bien plus.
- « Du feu et de l’acier : l’invasion de Westeros » : revivez les moments les plus forts de la saison avec ce bonus qui comprend des interviews des acteurs et de l’équipe nous expliquant la création des moments préférés des fans.
– Commentaires audio de chaque épisode avec le casting et l’équipe de tournage : David Benioff, D.B. Weiss, Jacob Anderson, Gwendoline Christie, Liam Cunningham, Kit Harington, Lena Headey et bien d’autres.

L'intégrale de Girls (Saison 1 à 6) 

Desperate young wives !

Comment survivre dans une jungle urbaine impitoyable composée presque essentiellement de vipères, crabes et autres requins, lorsqu’on n’est pas gâté pas forcément gâté par la nature, né avec une cuillère en argent dans la bouche et intellectuellement prédisposé à faire de grandes choses de notre existence ? Voilà un défi qui n’a pas effrayé nos pétillantes héroïnes de Girls qui vont devoir faire face à de nombreux problèmes au cours de 62 épisodes de 28 minutes répartis sur 6 saisons. Dans cette série ô combien saluée par la critique du monde entier, le chemin vers l’âge adulte sera parsemé d’embûches pour Hannah Horvath (Lena Dunham), l’éternelle stagiaire qui caresse l’espoir de devenir écrivain et qui devra faire ses preuves tout en construisant sa relation avec Adam Sackler (Adam Driver), tandis que Marnie Michaels (Allison Williams), la sulfureuse de la bande, passera le plus claire de son temps à panser ses plaies au cœur. Shoshanna Shapiro (Zosia Mamet) essaiera tant bien que mal de trouver un équilibre pour le moins fragile entre ses beuveries et ses études. Quant à la « bobo » Jessa Johansson (Jemima Kirke) qui aimerait vivre de son art, son entrée dans l’âge adulte va connaître de nombreuses déconvenues et autres chamboulements intempestifs ! Alors si vous êtes un homme qui aspire à mieux comprendre sa compagne, ou une femme qui aime rire de ses travers, nous nous conseillons de vous repasser en boucle les tribulations télévisuelles de nos jeunes femmes désespérées.

Véritable ode télévisuelle sur la tolérance cultivant le droit à la différence, deux valeurs intrinsèques de notre société moderne qui sont de nos jours encore et toujours malmenées, Girls nous offre une vue imprenable de l’entrée dans la vie active de quatre jeunes femmes dont l’amitié va être sérieusement mise à mal au fil des saisons. En pulvérisant le cadre traditionnel de la comédie, elle parvient allègrement à s’élever au rang de pamphlet télévisuel sur les difficultés de devenir adulte pour mieux balayer les nombreux clichés et autres poncifs habituellement associés au genre.

---

 

Distributeur : HBO
Origine : USA
Date de sortie : 26 décembre 2017
Créatrice : Lena Dunham
Distribution : Lena Dunham, Jemima Kirke, Allison Williams, Adam Driver, Zosia Mamet, Alex Karpovski, Ebon Moss-Bachrach, Andrew Rannells, Becky Ann Baker...
Genre : Comédie dramatique
Durée : 62 épisodes de 28 minutes répartis sur 6 saisons.
Les points forts des coffrets DVD : Pas de bonus annoncé !

Depuis quelques années déjà, le petit écran américain traverse ce que la presse mondiale a baptisé son ‘second âge d’or’ de la télévision. Un état de fait qui n’a pas échappé aux journalistes du monde entier ! J’en veux pour preuve nos magazines préférés, nos quotidiens nationaux et régionaux, nos magazines féminins et autres qui s’accordent tous pour réserver une place de choix à ce genre télévisuel, naguère si décrié et aujourd’hui si encensé, pour mieux publier des articles dithyrambiques sur les meilleures productions télévisuelles du moment. Coup de projecteurs sur les meilleures sorties du mois… Merci qui ?

L’histoire de Flash germe dans un épisode cross-over avec sa grande sœur télévisuelle Arrow. Barry Allen (Grant Gustin) y apparaît comme un jeune expert scientifique de la police de Central City. Suite à la mort énigmatique de sa mère et l’emprisonnement de son père Henry (incarné par John Wesley Shipp déjà connu pour avoir campé le superhéros le plus rapide au monde dans la série éponyme des années 1990) déclaré coupable de la tragédie, Barry grandit aux côtés du détective Joe West (Jesse L. Martin) et de sa fille Iris (Candice Patton).

Devenu adulte, son destin est chamboulé le soir de son retour de Starling City, où il a prêté mainte forte à la Team Arrow. Victime d’un fâcheux accident de laboratoire provoqué par l’explosion d’un accélérateur de particules, il se retrouve dans le coma. Après plusieurs mois de sommeil forcé, le jeune homme se découvre une capacité unique : l’hypervitesse. Avec l’aide des scientifiques de Star Labs, lesquels ont bien eu du mal à le remettre sur pied avant de l’aider à canaliser ses pouvoirs, il va combattre, tel un ange gardien invisible, le crime sous l’identité costumée de Flash.

Après avoir bravé le temps pour sauver sa mère dans le passé, le présent se retrouve totalement bouleversé dans un univers alternatif baptisé le « flashpoint ». Au sein de ce dernier, Barry prend alors conscience des douloureux changements : Joe et Iris ne s’adressent plus la parole, Caitlin Snow (Danielle Panabaker) est devenue la tueuse an sang froid Killer Frost et le frère de Cisco Ramon (Carlos Valdes) a mordu la poussière. Pire encore, son nouveau collègue de travail Julian Albert (Tom Felton) est très loin de le porter dans son cœur, alors qu’une nouvelle menace répondant au nom glaçant de Savitar (Andre Tricoteux) prend un malin plaisir à répandre chaos et désolation partout où il passe !

Le succès à la fois populaire et critique de Arrow ne se cantonne plus à sa seule existence, puisqu’elle a donné lieu en 2014 à la création d’un spin off, Flash, qui bat, elle aussi, des records d’audience avec cette saison 3 qui marque un tournant radical dans la mythologue de la série. Assurément plus adulte, elle va faire comprendre lentement, mais sûrement, à Flash que tout arrive pour une bonne raison et qu’il est dangereux de réécrire l’histoire…

Depuis quelques années, les chaînes britanniques rivalisent d’imagination dans la production de fictions. C’est cette liberté de ton et l’émulation des chaînes qui ont permis aux Anglais de produire des œuvres aussi marquantes que différentes. Et Broadchurch en fait assurément partie !

Et pour tous les retardataires qui n’ont pas suivi la genèse de la série, voici une petite leçon de rattrapage : la petite communauté de Sandbrook se retrouve dans l’œil d’un cyclone médiatique après la mort étrange d’un petit garçon. Pour tenter de résoudre ce crime abject, Alec Hardy (David Tennant) et Ellie Miller (Olivia Colman) sont défrayés sur place. Tout en essayant de maintenir la presse à distance pour ne pas nuire davantage au tourisme local, nos deux enquêteurs mettent alors tout en œuvre pour élucider le mystère, sans se douter que leurs investigations allaient faire remonter à la surface de sombres secrets. Mais, suite à l’épilogue de la première saison sur le nom du meurtrier du jeune Danny Latimer (Oskar McNamara), on ne s’imaginait pas que le procès allait être au centre de la nouvelle enquête.

Pourtant, les scénaristes ont eu l’audace de légitimer l’existence d’une suite aux histoires de Broadchurch. Mélanger le procès et l’affaire Sandbrook s’avère donc une franche réussite ! Toutefois, la deuxième saison ne se contente pas d’aborder les suites judiciaires, elle nous prouve non seulement que le procès peut être encore plus horrible à subir que l’enquête criminelle, mais tisse également une nouvelle intrigue qui va contraindre David Tenant à replonger dans son passé pour le moins nébuleux. Et pour la saison 3, Hardy et Miller sont à nouveau appelés à la rescousse pour une sombre histoire d’agression sexuelle. Le hic c’est que tout le monde connaît la victime et que ses déclarations vont raviver des tensions au sein de la communauté pour mieux faire rejaillir la vérité…

Même si cette saison 3 de Broadchurch souffre de quelques lenteurs et d’une certaine forme de redondance, ses acteurs sont toujours aussi excellents, et les nouveaux venus parfaitement intégrés. Par son scénario verrouillé, sa cinématographie dépouillée, sa distribution et son interprétation toujours aussi justes, et par ses exigences narratives, la série continue de se distinguer. Considérée comme une œuvre majeure, Broadchurch apostrophe les téléspectateurs et essaie, avec humanité et obstination, mais sans complaisance, de donner du sens à cette violence qui corrode notre monde.

Depuis plusieurs décennies, la série télévisée étend son rayonnement, tant et si bien qu’elle fait désormais partie intégrante de notre quotidien. Même si le phénomène commence quelque peu à s’essouffler, le petit écran génère cette année encore près de 400 shows comprenant non seulement les séries renouvelées, mais aussi de nouvelles œuvres inédites remportant un succès public et critique incontestable.

En 2015, Netflix conforte son avancée dans le monde de la série télévisée en accueillant en son sein Narcos, une œuvre originale à mi-chemin entre le drame policier et le thriller biopic retraçant la lutte acharnée des États-Unis et de la Colombie contre le cartel de la drogue de Medellín, l’organisation la plus fructueuse et barbare de l’histoire criminelle moderne. Et pour cette saison 2, le célèbre baron de la drogue est désormais en cavale depuis son évasion de la Cathédrale en fin de saison précédente. Il a désormais la DEA (Drug Enforcement Administration), le gouvernement colombien ainsi que les cartels rivaux à ses trousses qui le traquent nuit et jour. Un seul but : y échapper coûte que coûte… ou plutôt mort que vif !

Sur fond d’intrigue politico-policière le tout saupoudré d’un zeste de judiciaire savamment relevé par une pointe de docu-réalité, le second chapitre de Narcos nous raconte avec un réalisme convaincant l’un des plus grands fléaux de l’humanité, la drogue. Celle-ci est partout, personne ne peut y échapper. Imprévisible et incroyablement bien ficelée, la série vous tiendra aisément en haleine, tant par son scénario que par sa qualité d’interprétation. Alors gare à l’accoutumance !

Devenue culte en l’espace d’une seule saison, Arrow réinvente l’histoire du milliardaire Oliver Queen, ici magistralement campé par Stephen Amell. Porté disparu avec son père et sa petite amie, il refait surface cinq ans plus tard sur une île près des côtes chinoises. Mais, il n’est désormais plus le même : l’insouciant « golden boy » a laissé la place à un archer-justicier hors pair et bien déterminé à laver Starlite City de sa vermine envahissante.

Au terme d’une saison 4 ô combien éprouvante, notre héros de retrouve livré à lui même après la mort tragique de Laurel Lance/Black Canary (Katie Cassidy), les départs précipités de son plus fidèle allié John Diggle/Spartan (David Ramsey) et de sa sœur Thea Queen/Speedy (Willa Holland) de l’équipe. Pour ainsi dire, il se retrouve seul à laver les rues de la ville de sa vermine envahissante. Dans son malheur, Felicity Smoak (Emily Bett Rickards), laquelle continue à l’épauler depuis son bunker, lui trouve de nouveaux justiciers inexpérimentés alors qu’un nouveau criminel sans scrupules, Tobias Church (Chad Coleman) fait irruption dans la métropole avec la ferme intention de faire régner le chaos. Dans l’ombre, un autre rival répondant au nom de Prometheus, un archer aussi doué qu’Oliver et qui semble le connaître sur le bout des doigts, prendra un malin plaisir à tirer les ficelles pour mieux le discréditer. Entre ses nouvelles obligations de maire et la constitution de sa nouvelle « Team Arrow », notre héros parviendra-t-il à ne pas perdre la face et surtout le masque ? Rien n’est désormais moins sûr !

Véritable cocktail explosif d’action et d’héroïsme, la cinquième saison assurément marquée par le sceau du changement amorce un virage fondamental dans l’évolution du célèbre archet vert — issu de l’univers ô combien fourni de DC Comics. Une seule question demeure en suspend : la saison 5 d’Arrow est-elle annonciatrice d’une nouvelle ère ou bien du début de la fin ?

Distributeur : Warner Bros
Origine : USA
Date de sortie : 22 novembre 2017
Créateur : Andrew Kreisberg
Distribution : Stephen Amell, Katie Cassidy, Willa Holland, David Ramsey, Paul Blackthorne, Emily Bett Rickards, Echo Kellum, Josh Segarra...
Genre : Drame fantastique/action
Durée : 23 épisodes de 42 minutes
Les points forts des coffrets Blu-Ray & DVD : pas de bonus annoncé !

Vampire Diaries Saison 8 

Une fin mordante !

Après une saison 7 marquée par un « reboot créatif », après le départ précipité de son héroïne principale, les auteurs de Vampire Diaries se devaient de donner une fin digne de ce nom au show pour ne pas décevoir les mordus de la première heure ! En effet, vous n’êtes pas sans savoir que le ténébreux Ian Somerhalder et la sculpturale Nina Dobrev, amants à la ville comme à l’écran, ont filé le parfait amour pendant des années, allant même jusqu’à envisager le mariage. Oui, mais voilà, le beau brun a fini par se lasser de la jolie brune et lui en a préféré une autre, engendrant (comme vous pouvez aisément l’imaginer) de nombreuses tensions au sein de l’équipe. Lassée de la situation, la pragmatique Nina Dobrev a alors annoncé que cette saison 6 serait sa dernière, forçant ainsi la production à lui réserver un sort funeste.

Condamnée au sommeil le personnage d’Elena est donc écarté de la série, contraignant les auteurs à tenter d’insuffler une seconde jeunesse à la série, mais en vain. Dans cette huitième et ultime saison, Damon (Ian Somerhalder) et Stefan (Paul Wesley) et leurs acolytes de Mystic Falls doivent à nouveau s’unir pour lutter contre de nouveaux ennemis menaçant de détruire la ville. Entre un sorcier déchaîné, un couple de sirènes aussi hypnotisantes d’effrayantes, sans oublier le Prince des Enfers en personne ou encore une certaine Katherine Pierce (Nina Dobrev) revenue d’outre-tombe pour assouvir sa vengeance, les frères Salvatore vont devoir livrer leur derrière bataille face aux forces du mal et tout laisse à penser que l’un des deux ne pourrait pas s’en sortir… voire les deux !

Entre relations tumultueuses, souvenirs nostalgiques et autres démons du passé, suspense et frissons, Vampires Diaries nous a tenus en haleine pendant huit saisons. Et même si ces dernières ne se valent pas toutes, la série a trouvé la place qu’elle mérite au panthéon de la télévision, et ce, après l’avoir marqué de ses lettres ensanglantées.

---

Distributeur : Warner Bros
Origine : USA
Date de sortie : 8 novembre 2017
Créateurs : Julie Plec et Kevin Williamson
Distribution : Paul Wesley, Ian Somerhalder, Candice King, Kat Graham, Zach Roerig, Matthew Davis, Michael Malarkey...
Genre : Drame/fantastique/romance
Durée : 16 épisodes de 42 minutes
Les points forts des coffrets DVD et Blu-Ray : Pas de bonus annoncé !

Westworld Saison 1 : Le Labyrinthe 

Le phénomène Westworld enfin en vidéo !

 

Considérée à juste titre comme l’une des séries les plus attendues de l’année 2016, Westworld, adaptation du film de Michael Crichton par Jonathan Nolan (Person of Interest) et le producteur J.J. Abrams via son Bad Robot, est diffusée depuis le mois de février 2016 sur la sulfureuse chaîne américaine HBO et 24 heures plus tard sur la plateforme OCS en France.

À l’instar de l’œuvre culte de 1973 avec Yul Brynner dont elle s’inspire, la série est « une odyssée sombre sur l’aube de la conscience artificielle et l’avenir du péché », comme l’ont laissé entendre ses créateurs dans les colonnes du Variety. Comprenez par là que son intrigue germe au cœur d’un parc d’attractions d’un nouveau genre et particulièrement prisé par des touristes avides de sensations fortes et souhaitant vivre un fantasme de vie, dont les principaux protagonistes sont assurés par des robots programmés pour répondre aux moindres de leurs désirs, même les plus inavoués.

Dévoilée en avant-première lors de la Comic-Con 2016, la première saison de Westworld a immédiatement donné l’eau à la bouche aux chanceux participants avant de contaminer les « seriesmaniacs » du monde entier. Et pour cause, cette série d’un nouveau genre, à l’orée du western classique et du thriller de science-fiction, peut se targuer d’être une adaptation particulièrement bien léchée, extrêmement fascinante et pour le moins dérangeante. Ce projet de remake hantait Hollywood depuis le début des années 1990 et il aura fallu attendre un quart de siècle avant la finalisation dudit revival avec la commande du pilote en août 2013 et celle d’une saison complète en novembre 2014. Une attente qui n’aura pas été vaine, tant le show surprend sur la forme et le fond !

---

 

Distributeur : Warner Bros
Origine : USA
Date de sortie : 22 novembre 2017
Créateurs et showrunners : Jonathan Nolan & Lisa Joy
Distribution : Evan Rachel Wood, Thandie Newton, Jeffrey Wright, James Marsden, Ingrid Bolso Berdal, Clifton Collins Jr., Luke Hemsworth, Sidse Babett Knudsen, Simon Quarterman, Rodrigo Santoro, Angela Sarafyan, Jimmi Simpson, Shannon Woodward, Ed Harris, Anthony Hopkins, Ben Barnes, Tessa Thompson...
Genre : Western/thriller/science-fiction
Durée : 10 épisodes de 52 minutes
Les points forts des coffrets Blu-Ray, DVD & 4K :
– Découverte de la saison 1 avec Jonathan Nolan et Lisa Joy.
– La création du générique.
– « The Key to The Chords » : making of musique.
– 2017 Comic Con Panel.
– Bêtisier.
– « Bienvenue à Westworld ».
– « Crafting the Narrative ».
– Visite des décors.
– À propos de la série.
– « Reality of A.I.: Westworld ».
– « The Big Moment » : featurettes.

The Big Bang Theory Saison 9 

Le début d'une nouvelle théorie ?

Après avoir fait exploser l’audimat partout sur la planète et fait couler beaucoup d’encre dans la blogosphère, les héros de The Big Bang Theory nous reviennent dans un nouveau coffret vidéo qui vous permettra de revivre la saison 9 de cette série désopilante et nouvelle référence du genre. Agrémentée de nouveaux gags et autres joutes verbales, celle-ci va vous replonger au cœur d’intrigues opposant nos quatre génies préférés toujours aussi socialement inadaptés.

Comprenez par là que Léonard (Johnny Galecki) et Penny (Kaley Cuoco) se sont finalement passé la bague au doigt, et ce, malgré l’infidélité de ce dernier. De son côté, Sheldon (Jim Parsons) fait tout ce qui est en son pouvoir pour reconquérir le cœur brisé d’Amy (Mayim Bialik), même si celle-ci semble insensible à ses nouvelles attentions. Howard (Simon Helberg) et son épouse Bernadette (Melissa Rauch) auront de plus en plus de mal à supporter la présence du très collant Stuart (Kevin Sussman) chez eux et redoubleront de subterfuges pour tenter de le déloger. Quant à Raj (Kunal Nayyar), il éprouvera les plus grandes difficultés à rompre avec l’énigmatique Emily (Laura Spencer) qui, il faut bien l’avouer, présente quelques troubles du comportement !

Pour cette neuvième saison toujours aussi hilarante, Big Bang Theory vous réserve son lot de fous rires à gogo et autres situations cocasses qui auront vite fait de vous redonner le sourire en cette période de grand froid et de manque de soleil. Certaines mauvaises langues diront qu’une certaine lassitude commence quelque peu à s’installer dans le show, mais tout laisse à penser les que auteurs ont d’ores et déjà prévu l’artillerie lourde de l’humour pour redonner un second souffle à la série !

---

Distributeur : Warner Bros
Origine : USA
Date de sortie : 22 novembre 2017
Créateurs & showrunners : Bill Prady, Chuck Lorre & Steven Molaro
Distribution : Jim Parsons, Johnny Galecki, Kaley Cuoco, Simon Helberg, Kunal Nayyar, Melissa Rauch, Mayim Bialik, Laura Spencer, Kevin Sussman, John Ross Bowie, Brian George, Wil Wheaton, Laurie Metcalf, Christine Baranski, Sara Gilbert, Kate Micucci, Brian Thomas Smith, Brian Posehn, Stephen Hawking...
Genre : Comédie
Durée : 24 épisodes de 22 minutes
Les points forts du coffret DVD : pas de bonus annoncé !