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Critique de film : Lincoln

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Machine à rêve à lui seul, Spielberg domine le tout Hollywood depuis une trentaine d'année et un certain Jaws. S'en sont suivis des monuments du cinéma américain, d'Indiana Jones à Jurassic Park en passant par la Guerre des Mondes, ou La Liste de Shindler dans un autre style, il n'est plus la peine de présenter le bon vieux Steven. Néanmoins, force est de constater qu'il est en perte de régime ces dernières années. D'abord, il sort moins de films qu'avant. Mais surtout, ceux ci sont de qualités inégales. Si Tintin est un très bon divertissement, c'était d'abord par ses emprunts aux jeux videos dans sa mise en scène (Uncharted par exemple). En revanche, Cheval de Guerre est loin d'avoir mit tout le monde d'accord. Quand certains crient au chef d'oeuvre, d'autres dénoncent une prétention et une niaiserie sans commune mesure. Et on oublie pas (hélas) l'attentat du bougre perpétré sur la saga Indiana Jones, que dis-je, le viol en réunion à l'encontre de notre pauvre Indy. L'arrivée de Lincoln peut donc susciter des doutes donc, car surfant sur le stylé historique déjà décrier pour Cheval de Guerre.

Critique du film : Spring Breakers

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Il y a de ces films dont la communication n'est finalement pas très flatteuse envers la qualité générale de l'oeuvre. On peut par exemple citer récemment Drive, dont la bande annonce laisser présager un film d'action peu original alors qu'il en était tout autre. Ici, qu'on se le dise, la bande annonce de Spring Breakers peut laisser entrevoir à beaucoup une sorte de teen movie on ne peut plus banal. Moi même, lors des mes passages à mon cinéma habituel, en voyant l'affiche promotionnel du film avec Selena Gomez en petite tenue, je pensais, d'un air hautain et méprisant, que ce film serait certainement un navet. Mais en voyant le nom du réalisateur, j'ai commencé à m'intéresser au film. Car il faut dire qu'Harmony Korine, ce n'est rien d'autre que le boss du cinéma indépendant américain. L'arrivée d'un de ses films dans nos contrée cache donc la promesse d'un bon cinéma. Dès lors, je me suis empressé de voir le film.

Critique du film : Django Unchained

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A la fin d'Inglourious Basterds, le Lieutenant Aldo Raine disait, contemplant son oeuvre sur un soldat nazi, "Je crois que c'est mon chef d'oeuvre". Si tout le monde à l'époque avait comprit que c'était avant tout Tarantino qui parlait à ce moment, le film avait marqué un tournant dans sa carrière. Car en effet, Inglourious Basterds laissait déjà entrevoir un cinéaste plus mature, plus subtile. Et trois ans plus tard, je crois bien que Django Unchained est son nouveau chef d'oeuvre.

Critique du film : Le Hobbit, un voyage innatendu.

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Un peu plus de 10 ans après Le Seigneur des Anneaux: La communauté de l'Anneaux, Peter Jackson revient avec un préquel/spin off à sa trilogie devenue culte. Ainsi, c'est avec beaucoup de pression et d'attente qu'il a tourné cette nouvelle trilogie. Et pour les fans, le stress était là aussi. Bien heureusement, Jackson ne déçoit rarement, et ce n'est pas le cas non plus pour ce Hobbit qui, malgré ses défauts, est une bouffée d'oxygène parmis ces nombreux blockbusters américains moroses.

Critique du film : Looper

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Looper, c'est ce gens de film d'abord discret, se faisant dans l'ombre, puis petit à petit, se fait attendre grâce à des bandes annonces prometteuses, des critiques presses enthousiastes et surtout, un casting de choc emmené par Joseph Gordon Lewitt et Bruce Willis. Et ainsi, advient ce qu'il devait arriver, un très bon film débarque.

Critique du film: Skyfall

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Culte parmis les cultes, la saga James Bond ne cesse de nous faire rêver depuis 50 ans, avec une qualité plutôt régulière, et des acteurs différents. Si elle a beaucoup évoluée en ce laps de temps, elle ne demeure pas moins l'une des sagas dont on reconnait le plus vite l'identité, tant avec le fameux "Bond, James Bond" que l'Aston Martin ou la bande son. Tout comme Star Trek, elle a subit un lifting ces dernières années, et ce Skyfall a pour embition d'allier modernité et retour au source. Un pari risqué, mais, comme à son habitude, réussi par l'agent du MI6.