Les sorties DVD/Blu-Ray du mois de novembre 2016 - Cinéma

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• Mis en ligne le 04 Déc 2016 18:55

Il faut bien se l’avouer, l’hiver est déjà là ! Alors, quoi de mieux qu’un bon film pour se remonter le moral ? Pour ce faire, voici une sélection de films pour lesquels une séance de rattrapage s’impose en DVD, Blu-Ray voire 3D. Merci qui ?

Il y a plus de vingt mille ans de cela, le monde n’était qu’une gigantesque masse de glace. Mais lorsqu’un rongeur particulièrement acharné fend la banquise et déclenche un nouvel âge de glace, des troupeaux entiers de mammifères effrayés décident d’émigrer vers le Sud. Seules trois créatures — répondant au nom de Manfred (le mammouth), Sid (le paresseux) et Diego (le tigre aux dents de sabre) — se retrouvent liées par les implacables lois du destin. Bien malgré lui, ce trio atypique apprend à se serrer les coudes.
Et quatre opus plus tard, Scrat se retrouve propulsé dans l’espace où il ne tarde pas à déclencher une série de « scrat-astrophes » qui pourrait bien plonger le monde dans l’Âge de Glace. Pour tenter d’enrayer le phénomène, Sid, Diego, Manny, Mémé et leurs nouveaux acolytes vont se lancer dans une nouvelle aventure aussi abracadabrantesque que périlleuse ! Entre une pluie de météorites, le retour de Buck, la belette complètement déjantée et la traversée de nouvelles contrées exotiques, notre trio de choc aura une nouvelle fois fort à faire avant de voir la fin du tunnel…
Quatre mois après avoir fait des émules dans nos salles obscures préférées, L’Âge de Glace 5 : Les lois de l’univers débarque enfin pour notre plus grand plaisir en vidéo en vidéo avec une avalanche de bonus et le coffret de l’intégrale en prime ! Même si la franchise commence à s’essouffler, et il serait peut-être temps de lui donner une fin digne de ce nom, l’humour et l’émotion qui se dégagent de cette comédie d’animation familiale suffiront amplement pour vous faire passer un moment inoubliable blottis au coin du feu. Pour ce faire, les réalisateurs Mike Thurmeier & Galen T. Chu ont mis le paquet, voire la sauce, et nous plongent au cœur d’une aventure désopilante et pleine de rebondissements. Univers fantasque, gags à gogo, action échevelée et suspense haletant font de L’Âge de Glace 5 : Les lois de l’univers une œuvre cinématographique à part entière qui ravira petits et grands. Une pure tranche de rigolade à partager en famille ou entre amis !

Quelques mois seulement après la nouvelle adaptation du Livre de la Jungle de Jon Favreau, c’est au tour de la nouvelle mouture du Roi de la Jungle de faire des émules en vidéo ! Après de moult rebondissements et autres déconvenues en tout genre, le Tarzan de David Yates a finalement fini par voir le jour sur grand écran. Dans ce dernier, on peut y voir Alexander Skarsgard, dont la masse musculaire a considérablement augmenté depuis True Blood. En outre, celui-ci se montre particulièrement convaincant dans la peau du célèbre héros, passant aisément de l’homme-singe à l’homme civilisé, et se muant de liane en liane pour mieux affronter les dangers dans la moiteur de la jungle.
S’inspirant librement du mythe créé par l’écrivain Edgar Rice Burroughs, le scénario suit les pas de John Clayton III, un jeune homme bien sous tout rapport… enfin presque ! En effet, derrière le masque du beau gentilhomme appartenant à l’aristocratie britannique se cache le Roi de la Jungle, un dénommé Tarzan qui, des années durant, a vécu parmi les siens (les singes) avant de rejoindre l’Angleterre avec sa compagne, Jane, jouée par Margot Robbie. Et, alors qu’il coule des jours paisibles sous sa nouvelle identité, il est rattrapé par son sombre passé lorsque la Reine Victoria va lui demander d’aller mener une enquête au Congo pour tenter le lever le voile sur les agissements douteux commis par l’indécrottable Captain Leon Rom (Christophe Waltz), avide de pouvoir et de reconnaissance…
Le personnage charismatique de Tarzan a connu de nombreuses versions dans l’histoire du Septième Art : de Tarzan, l’Homme-Singe de W.S Van Dyke en 1932, en passant par le Greystoke d’Hugh Hudson en 1984 avec Christopher Lambert, ou encore l’adaptation de Disney en 1999, le célèbre porteur du pagne a connu bien des destins et autres péripéties. Connu et reconnu pour avoir mis en scène les derniers épisodes de l’univers beaucoup plus noir du sorcier Harry Potter, David Yates dépoussière assurément la légende avec un point de vue nettement moins manichéen. Son œuvre aussi pragmatique que visuelle permettra-t-elle pour autant de relancer la franchise ? L’avenir nous le dira…

Les fervents admirateurs du genre « heroic-fantasy » l’attendaient avec impatience et la Warner Bros n’a pas lésiné sur les moyens pour leur en mettre plein les yeux ! Avec le Coffret Middle Earth Édition Limitée : Trilogie Hobbit & Le Seigneur des Anneaux, la célèbre major vous invite à revivre les aventures épiques qui ont à jamais marqué de leurs empreintes indélébiles l’histoire du 7ème Art !
D’un côté, nous avons la trilogie du Hobbit – Chapitre 1/Un Voyage Inattendu, Chapitre 2/La Désolation de Smaug & Chapitre 3/La Bataille des 5 Armées – dans laquelle on retrouve Bilbon Sacquet (Martin Freeman) déterminé à reprendre le royaume perdu des Nains d’Erebor, conquis par le redoutable dragon Smaug que nos héros finiront par sortir de son sommeil. Que ce soit dans la Forêt Noire, la maison de Beorn, à Lacville ou encore dans l’antre du dragon, les deux premiers opus gagnent en intensité avant de nous livrer une fin en apothéose. Dans le dernier chapitre de La Bataille des Cinq Armées, Thorin Ecu-de-Chêne (Richard Armitage) corrodé par sa soif de pouvoir et les Nains d’Erebor, toujours épaulés par Bilbon Sacquet, ont reconquis non sans mal la terre de leurs ancêtres. Revers de la médaille, ils ont réveillé le terrifiant Dragon Smaug qui déchaîne maintenant sa colère en s’en prenant aux hommes, femmes et enfants sans défense d’Esgaroth qui tentent par tous les moyens d’échapper à ses griffes acérées et autre souffle dévastateur. Rejoints par les Elfes qui vont leur prêter main-forte, les Nains alliés aux Humains doivent faire face aux légions de Wrags et autres Orques envoyées par Sauron, le Seigneur Noir, et menées par le Nécromancien. Convoitant toutes les nombreuses richesses enfouies au cœur de la Montagne Solitaire, les cinq armées s’apprêtent à entrer en guerre. De son côté, Bilbon tente tant bien que mal de garder la vie sauve, alors qu’un choix crucial s’offre à lui, celui qui pourrait bien bouleverser la donne...
De l’autre, nous avons la trilogie du Seigneur des Anneaux composée du Chapitre 1/La Communauté de l’Anneau, Chapitre 2/Les deux Tours & Chapitre 3/Le retour du Roi. 60 ans après les évènements qui ont marqué les aventures de Bilbon, beaucoup d’eau a coulé sous les ponts de La Comté. « Trois anneaux pour les Rois Elfes sous le ciel, sept pour les Seigneurs Nains dans leurs demeures de pierre et neuf pour les Hommes Mortels destinés au trépas. Un pour le Seigneur des Ténèbres sur son sombre trône dans le pays de Mordor où s'étendent les ombres, un anneau pour les gouverner tous, un anneau pour les trouver, un anneau pour les amener tous et dans les ténèbres les lier au pays de Mordor…» C’est ainsi que débute la trilogie du vingt-et-unième siècle, intitulée Le Seigneur des Anneaux, nous contant la destinée hors du commun d'un jeune Hobbit, Frodon Sacquet Baggins (Elijah Wood), qui vient d’hériter d'un anneau magique de son aïeul Bilbon (Ian Holm). Frodon apprendra rapidement que le propriétaire initial de cet anneau, le seigneur noir Sauron, est désespérément à sa recherche pour accomplir ses desseins de gloire : asservir le peuple de la terre connue sous le nom de Terre du Milieu. Une équipe composée d'un magicien, d'un elfe, d'un nain et de deux hommes est alors constituée pour accompagner Frodon et ses amis là où seul l’anneau pourra être détruit : dans les flammes sacrées de la Montagne du Destin. La Communauté de L’Anneau devra alors tenter de déjouer le machiavélisme des émissaires de Sauron, tandis que les puissances absolues de l'anneau tenteront de les corrompre...
Il faut bien l’avouer, le cinéaste Peter Jackson a remporté haut la main le pari fou qu’il s’est naguère lancé en déclarant son envie d’adapter au cinéma les aventures romanesques les plus extraordinaires du vingtième siècle. Ses images époustouflantes et sa grandiose reconstitution correspondent parfaitement à l'imagerie que les millions d'adeptes d’« heroic-fantasy » se sont fait en lisant la prose de J.R.R Tolkien. Le néophyte, tout comme le partisan le plus fanatique, succombera à la splendeur de ces deux œuvres magistrales sublimées par des Coffrets Middle Earth Éditions Limitées qui vous permettront de vous replonger dans la Terre du Milieu…

Après le succès de Conjuring premier du nom, les époux Warren reprennent du service pour notre plus grand plaisir et au plus grand désarroi des entités démoniaques et autres créatures échappées de la bouche de l’Enfer ! Dans ce second opus sous-titré Le cas Enfield, Lorraine (Vera Farmiga) et Ed Warren (Patrick Wilson) se retrouvent dans le Nord de Londres pour venir en aide à une jeune mère élevant seule ses quatre enfants dans une maison hantée par des esprits malfaisants. Aux dires de ces derniers, il s’agira d’une de leurs enquêtes paranormales les plus terrifiantes et ce film d’épouvante réalisé par James Wan, passé maître en la matière, en est la preuve irréfutable !
À l’instar du premier volet, Conjuring 2 : le cas Enfield alterne adroitement suspense haletant et esthétisme glaçant. Quant aux effets spéciaux, ils sont toujours aussi concluants et je ne vous parle pas des bruitages inquiétants et autres apparitions fantasmagoriques qui vous glaceront le sang.
En vogue depuis quelques années, le cinéma d’épouvante étend davantage son rayonnement jusqu’à Hollywood. Après Paranormal Activity, Insidious et autre Saw, c’est au tour de la saga Conjuring, étroitement liée à celle d’une certaine Annabel, d’exploiter à fond une franchise qui s’avère plutôt juteuse. Même si l’hémoglobine est toujours distillée à dose homéopathique, ce chapitre 2 bénéficie d’une cinématographie aussi angoissante qu’épurée qui n’est pas sans nous rappeler certains des plus grands classiques du genre. Les amateurs de sensations fortes en auront pour leur argent… même si certains passages risquent de les hanter pour très, très longtemps… âmes sensibles, s’abstenir !

Depuis quelques années, les adaptations de séries télévisées semblent être à la mode à Hollywood. Certaines d’entre elles se sont avérées particulièrement réussies alors que d’autres ont franchement frisé le ridicule ! Mais qu’en est-il pour le reboot de Ninja Turtles ? Et bien, après le succès inattendu du premier opus, le second n’est ni bon ni mauvais : il est toujours aussi divertissant ! Toutefois, nous vous conseillons toujours d’éviter de le voir avec l’œil d’un adulte. Et pour cause : fidèle à l’esprit quelque peu décalé de ce dessin animé culte qui a investi le petit écran le siècle dernier, Ninja Turtles 2 nous replonge dans un New York de nouveau assailli par un Shredder (Brian Tee) encore plus remonté depuis son évasion de prison. Pire encore, l’infâme s’est associé avec le savant fou Baxter Stockman (Tyler Perry), ainsi que deux hommes de main aussi écervelés que musclés (Bebop & Rocksteady respectivement incarnés par Gary Anthony Williams et Stephen Farrelly).
Et face à une autre menace plus connue sous le nom de Krang (Brad Garrett), mais tout aussi grandissante, nos quatre tortues ninjas préférées sortent une nouvelle fois leurs carapaces des profondeurs de la ville — répondant aux noms de Raphael (Alan Ritchson), Michelangelo (Noel Fisher), Leonardo (Pete Ploszek) et Donatello (Jeremy Howard) — ils vont s’unir une nouvelle fois à l’intrépide journaliste April O’Neil (Megan Fox), sous l’égide de leur maître Splinter (Peter Donald Badalamenti), et ce, pour défendre la « Grande Pomme » face à ce pépin pour le moins envahissant, mais qui menace le monde entier !
Inspiré du célèbre dessin animé qui a, peut-être, bercé votre enfance, Ninja Turtles 2 débarque enfin en vidéo ! À l’instar de son prédécesseur, tous les ingrédients de cette transposition cinématographique, signée par le jeune cinéaste Dave Green (Echo), épousent fidèlement l’esprit édulcoré de l’un des dessins animés les plus populaires et emblématiques des années quatre-vingt. Que ce soit les décors bariolés, les monstres mi-effrayants mi-comiques, les effets spéciaux nouvelle génération, les costumes distinctifs ou encore les gestes démantibulés de nos tortues préférées, tout respecte minutieusement le canevas de l’œuvre animée originale. À voir absolument en famille !

Après le succès populaire du premier opus, Nos pires voisins nous reviennent dans une nouvelle aventure cinématographique tout aussi réjouissante et distrayante ! Pour l’arrivée de leur second rejeton, Mac (Seth Rogen) et Kelly Radner (Rose Byrne) se jettent à l’eau d’une vie d’adultes enfin assumée en déménageant en banlieue. Mais alors qu’ils essaient de prendre leurs marques au sein de leur nouveau petit nid d’amour, une sonorité d’étudiantes pour le moins dévergondées menée par une certaine Shelby (Chloë Grace Moretz) succède à l’ancienne fraternité dirigée par de l’effronté Teddy (Zac Efron).
Comme vous pouvez vous en douter, celles-ci vont très largement dépasser ces prédécesseurs en matière de frénésie et de tapage nocturne, tant et si bien que nos jeunes parents finiront même par regretter leurs anciens voisins ! Une fois n’est pas coutume, Mac et Kelly vont devoir faire équipe avec leur meilleur ennemi, et ce, pour mieux utiliser ses charmes face à une Kappa Nu totalement déchaînée. Qui remportera la partie ?
À vous de le découvrir dans Nos Pires Voisins 2, une suite qui s’inscrit assurément dans la lignée quelque peu décomplexée du premier volet. Fonctionnant sur les codes de la « comédie potache » classique, elle tisse toujours son intrigue quelque peu simpliste autour de stratégies loufoques et autres attaques sans pitié suscitant le comique et assez réalistes pour ne pas sombrer dans la pâle copie d’autres longs-métrages du même acabit. Mais, contrairement au premier du nom, le réalisateur Nicholas Stoller assume pleinement le genre et sort l’artillerie lourde. Comprenez par là qu’il joue à fond la carte de la comédie graveleuse avec des gags encore plus régressifs voire scatos. Et si c’est possible ! En outre, quelques scènes sortent du lot et l’interprétation des acteurs renforce le tout. Une comédie dont seuls les Américains ont le secret, qui ne vole pas très haut, certes, mais qui vous permettra de passer un bon moment entre amis ou voisins réconciliés !

Après avoir fait ses premières armes sur le petit écran avec Felicity, Alias, Lost ou encore Fringe, donné un second souffle à la franchise cinématographique grâce à Mission : Impossible III, dépoussiéré la marque Star Trek sur grand écran, J.J. Abrams s’est attaqué au mastodonte Star Wars avec un épisode VII sobrement baptisé Le Réveil de la Force.
Dix ans après les tragiques évènements relatés dans le troisième épisode intitulé La Revanche des Sith, le célèbre réalisateur nous propose enfin une suite à la célèbre saga imaginée par George Lucas. Dans une galaxie fort lointaine, trente ans après Le Retour du Jedi et la fameuse bataille d’Endor, rien de va plus ! Changée en véritable poudrière, celle-ci menace d’éclater à tout instant ! Entre tyrannie et oppression, les membres de l’Alliance Rebelle, devenus la Résistance, essaient tant bien que mal de combattre les vestiges de l’Empire changé en Premier Ordre. Non loin de là, un mystérieux guerrier, Kylo Ren (Adam driver), semble vouer un culte sans bornes à Dark Vador et prend un malin plaisir à éradiquer tout opposant. Alors que tout semble perdu, le destin d’une jeune femme répondant au nom de Rey (Daisy Ridley), pilleuse d’épaves sur la planète aride Jakku, croise celui de Finn (John Boyega), un Stormtrooper en fuite. De cette rencontre fortuite va naître une nouvelle lueur d’espoir…
Fidèle à sa réputation, J.J. Abrams nous en met plein la vue. Vous serez littéralement abasourdis par la splendeur des effets spéciaux et la magnificence des paysages. Seule ombre au tableau, à trop vouloir rendre hommage à l’œuvre originelle, le scénario frise parfois le « plagiat » et réduit parfois certains personnages au rang de simples figurants. Le degré de perfection des images numériques, de la réalisation et de la bande-son suffit néanmoins à nous transporter dans un univers toujours aussi fantastique. Alors laissez-vous tenter une nouvelle fois par la Force de ce nouveau coffret Édition Collector 3D renfermant le dernier volet de la saga épique Stars Wars avec une qualité d’image 100 % exceptionnelle et de nombreux bonus inédits, et ce, sans nul doute pour mieux vous faire patienter le temps du prochaine opus ! D’ici là que la patience soit avec vous…

Présenté en ouverture de la quarantième édition du Festival de Toronto (TIFF), Demolition de Jean-Marc Vallée a bouleversé les festivaliers. Dans ce drame écrit par Bryan Sipe, l’acteur caméléon Jake Gyllenhaal sort une nouvelle fois des sentiers battus (après La Rage au Ventre et Everest) en campant Davis Mitchell, un jeune cadre dynamique qui voit son destin basculer à la mort tragique de son épouse dans un accident de voiture. Pour l’aider dans cette douloureuse épreuve, son beau-père, interprété par Chris Cooper, va alors mettre tout en œuvre pour lui mettre la pression et lui éviter, ainsi, les méandres de la mélancolie. Malgré ses nombreux efforts, rien n’y fait et le veuf va lentement, mais sûrement, se laisser happer par les affres de la dépression.
Une simple lettre de réclamation envoyée au distributeur de confiseries de l’hôpital va tout de suite attirer l’attention de Karen Moreno (Naomi Watts), une mère célibataire qui travaille au service client et avec laquelle il va nouer une relation particulière. Intriguée par son détachement et ses tourments, la jeune femme va alors l’assister dans l’entreprise de démolition de sa vie passée, et ce, pour mieux échapper aux griffes de l’autodestruction. Y parviendra-t-elle ?
Pour le talentueux réalisateur québécois, c’est la troisième production américaine à ajouter à sa filmographie après le bouleversant Dallas Buyers Club (oscarisé à trois reprises en 2014) et l’éloquent Wild (nominé plusieurs fois aux Oscars), deux biopics dramatiques qui ont à jamais marqué de leurs lettres de noblesse le Septième Art. Une fois encore, Jean-Marc Vallée nous frappe en plein cœur et nous propose une histoire poignante et originale. Animé par un profond désir de comprendre la psychologie humaine, Demolition ne vous laissera pas insensible, loin s’en faut, alors prévoyez les mouchoirs !

Vingt ans après le premier opus qui avait cartonné au box-office en 1996, Independence Day envahit à nouveau notre écran pour le plus grand plaisir des fans du genre qui n’en pouvaient plus d’attendre ! Toujours derrière la caméra, le réalisateur Roland Emmerich nous ressert ainsi la suite, mais avec les derniers effets spéciaux du moment et croyez-moi ça déménage !
Dans ce sequel ô combien attendu, l’humanité se retrouve une nouvelle fois mise à mal face à une armée d’extraterrestres menaçant d’asservir la Terre. Afin de sauver l’humanité de l’extinction, les nations unissent leurs efforts autour d’un programme de défense sans précédent exploitant la technologie alienne jadis récupérée. L’homme est toutefois très loin de se douter de la nouvelle force de frappe des envahisseurs, car pour eux aussi vingt ans se sont écoulés. Seule l'ingéniosité et la témérité de quelques hommes et femmes parviendront à raviver la flamme de l’espoir dans un monde réduit à feu et à sang. L’humanité survivra-t-elle à un nouveau cataclysme venu du ciel ?
Dans Independence Day : Resurgence, Roland Emmerich renoue avec ses valeurs patriotiques et signe une œuvre impressionnante au sujet d’un sujet brûlant qui fait froid dans le dos. Fidèle à sa réputation, le réalisateur n’oublie pas pour autant de nous en mettre plein les yeux et nous propose une avalanche d’effets spéciaux qui contentera les fans de sensations fortes. Pour peu que vous soyez férus de ce genre de film, bien sûr ! La franchise semble relancée…

Une année s’est écoulée depuis que nos prestidigitateurs préférés sont parvenus à berner le FBI, en forçant ainsi l’admiration d’un noyau dur de fans. D’ailleurs, ces derniers se languissent de revoir les 4 Cavaliers jouer leurs nouveaux tours ! Et pour marquer comme il se doit leur grand retour sous les feux de la rampe, ces derniers ont jeté leur dévolu sur un magnat de la technologie à la tête d’une vaste organisation groupusculaire et dont les méthodes sont de plus en plus répréhensibles.
Mais, tel est pris qui croyait prendre comme le dit si bien le vieil adage : l’homme d’affaires en question, un certain Walter Marbry (Daniel Radcliffe), a un coup d’avance sur notre quatuor de choc et de charme. Pire encore, il leur a tendu un piège qui pourrait bien conduire Lula (Lizzy Caplan), J.D. (Jesse Eisenberg), Merritt (Woody Harrelson) et Jack (Dave Franco) à tromper un système informatique pourtant réputé pour être l’un des plus sécurisés au monde. Pour tenter de sortir de ce guêpier, les 4 Cavaliers vont alors faire appel à leur magie pour mieux déjouer les plans machiavéliques échafaudés par ce syndicat du crime…
Contre toute attente, Insaisissables premier du nom a été un succès majeur au box-office mondial, raflant pas moins de 350 millions de dollars de recette pour un budget de 75 millions. Insaisissables 2 semble avoir nettement moins convaincu si on se base uniquement sur les chiffres. Certes, Jon M. Chu succède dignement à Louis Leterrier derrière la caméra, mais ne parvient pas à créer le même effet de surprise ! Pour autant, ce deuxième cru n’en demeure pas moins une comédie d’action aussi distrayante que bluffante ! Pour preuve, un an avant la sortie du deuxième opus, la production d’un troisième film de la franchise Insaisissables a été annoncée, prouvant ainsi que celle-ci avait encore de beaux jours devant…